Nous sommes tous en attente d’une révolution quant au diagnostic en parodontologie basée sur les techniques innovantes et les avancées technologiques. 

Les méthodes classiques, comme le sondage parodontal et les radiographies conventionnelles, montrent des limites face à la nécessité d’un dépistage précoce. 

Aujourd’hui, les biomarqueurs salivaires et sanguins sont-ils en mesure de nous permettre d’identifier les signes précoces d’inflammation et de destruction tissulaire ? 

Parallèlement, doit-on intégrer l’imagerie 3D qui offre une visualisation plus précise des structures parodontales dans notre pratique quotidienne ? 

L’intelligence artificielle émerge également comme un outil clé, en optimisant l’analyse des images et en aidant à la prédiction de l’évolution des maladies. 

Ces innovations ouvriraient la voie à un diagnostic plus rapide, personnalisé et fiable. Toutefois, leur adoption soulève des défis, notamment en termes de coûts, d’accessibilité et de validation clinique. 

Faisons le point ensemble sur ce sujet, appuyé sur les publications issues d’un récent workshop mené par la Fédération Européenne de Parodontologie.